lunes, 22 de junio de 2009

Souscription Le Sujet des émotio ns au Moyen Âge (Médiévale)


Éditions Beauchesne

Philosophie-Religions-Spiritualité-Histoire

7 Cité Cardinal-Lemoine 75005 Paris

tél. : 01 53 10 08 18 fax : 01 53 10 85 19

En souscription jusqu'au 11 octobre 2009

Prepublication price valid until October 11 2009

Piroska NAGY, Damien BOQUET (sous la

direction de)

ISBN 978-2-7010-1522-4 520 p. + I-VIII ill.

LE SUJET DES ÉMOTIONS AU MOYEN ÂGE

Longtemps les émotions ont échappé au regard de l'historien.

A fortiori le Moyen Âge était-il considéré comme ce temps de l'enfance des peuples européens, dominé par des passions brutes et incontrôlées. Le présent ouvrage, fruit d'un programme international de recherches qui a réuni pendant trois ans historiens, philosophes, littéraires, historiens de l'art et psychologues, montre que les études historiques sur la vie affective sont aujourd'hui en plein renouveau. Les auteurs instaurent tout d'abord un dialogue entre les sciences humaines pour réfléchir aux conditions d'une histoire des affects. Puis ils explorent les différents horizons où l'émotion a façonné l'identité du sujet médiéval : au travers des discours des philosophes sur les passions de l'âme ou des théologiens qui prouvent l'Incarnation par la passion du Christ, dans la profusion des expériences spirituelles et littéraires où se construit une intimité affective avec Dieu mais aussi entre hommes et femmes ici-bas, ou encore dans les champs de l'iconographie et de la perception sensorielle qui interagissent pour fixer les contours du sujet émotionnel. Les médiévaux ont beaucoup parlé de leurs émotions et ils les manifestaient tout autant. Loin des caricatures, ils offrent en retour aux observateurs contemporains, pour peu que ceux-ci acceptent de déposer leurs vieilles certitudes, le miroir d'un monde complexe et pleinement humain.

Sommaire

Paulette L'Hermite-Leclercq

Ouverture. Pour voir, pour

sentir

Introduction

Piroska Nagy et Damien Boquet

Pour une histoire des émotions : l'historien face aux

questions contemporaines

Annie Piolat et Rachid Bannour

Émotions et affects : contribution de la psychologie

cognitive

I. Penser et dire les émotions au Moyen Âge

Paulette L'Hermite-Leclercq

Introduction

Barbara H. Rosenwein

Emotion Words

Carla Casagrande et Silvana Vecchio

Les théories des passions dans la culture médiévale

Emanuele Coccia

Il canone delle passioni. La passione di Cristo

dall'antichità al medioevo

Damien Boquet

Des racines de l'émotion. Les préaffects et le tournant

anthropologique du

XIIe siècle

Alain Boureau

Un sujet agité. Le statut nouveau des passions de l'âme au

XIII

e siècle

Irène Rosier-Catach

Discussions médiévales sur l'expression des affects

II. Une fabrique de l'intime

Paulette L'Hermite-Leclercq

Introduction

Pierre Levron

Mélancolie, émotion et vocabulaire : enquête sur le réseau

lexical de l'émotivité intrabilaire dans quelques textes

littéraires des

XIIe et XIIIe siècles

Jean-François Cottier

Saint Anselme et la conversion des émotions : l'épisode

de la mort d'Osberne

Benoît Beyer de Ryke

Une souffrance christiforme. Émotions et déification dans

Le livre qui se nomme Suso

, suivi de Écriture et

représentation picturale des émotions chez Henri Suso,

par

Monique Gruber

Piroska Nagy

Sensations et émotions d'une femme de passion, Lukarde

d'Oberweimar (†1309)

Veerle Fraeters

« Ô amour, sois tout à moi ! » Le désir comme agent de

déification chez Hadewijch de Brabant

III. Les contours du sujet émotionnel

Paulette L'Hermite-Leclercq

Introduction

Federica Veratelli

Les émotions en images à la fin du Moyen Âge. Le

langage visuel de la douleur entre dévotion,

représentation et réception

Brigitte d'Hainaut-Zveny

L'ivresse sobre. Pratiques de « rejeu » empathiques des

images médiévales

Anna Caiozzo

Percevoir l'altérité et le malheur d'autrui. Remarques sur

l'expression des émotions dans l'Orient médiéval

Martin Roch

Odeurs extraordinaires et émotions au haut Moyen Âge

Naama Cohen-Hanegbi

The Emotional Body of Women : Medical Practice

between the 13

th and the 15th Century

Conclusion

Pierre Livet

Les émotions au Moyen Âge. Analyse rétrospective

Liste des auteurs

Résumés d'articles / Resumes of articles

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LE SUJET DES ÉMOTIONS AU MOYEN ÂGE

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La Patria Libre. El Semanario de la Ruptura : Novedades editoriales Mayo - Junio 2009


La Patria Libre. El Semanario de la Ruptura
Ramiro Ledesma Ramos, Ernesto Gimenez Caballero, Emilio Gutiérrez Palma...

Compilador: José Manuel Jiménez.
Estudio preliminar de Gabriel Server

Sinopsis:
Uno de los episodios más sobresalientes de la breve, pero intensa, historia del nacional- sindicalismo durante la Segunda República fue sin duda la tentativa de escisión en el seno de la Falange Española de las J.O.N.S. liderada por Ramiro Ledesma Ramos en enero de 1935. Los escisionistas crearon un órgano de propaganda jonsista titulado La Patria Libre cuyo contenido defendía la oposición al Jefe Nacional y presentaba una alternativa frente al falangismo. En general, sin ocultar estos hechos, la historiografía se ha preocupado poco de estos temas que ocupan pocas páginas en la mayoría de los ensayos sobre la historia del fascismo español, tratándolos como simples peripecias. Hasta finales de los años sesenta la propaganda del régimen, desde la prensa hasta los libros escolares, destilaba año tras año la misma historia oficial silenciando los conflictos internos y obedeciendo al mito oficial y artificial de la trayectoria triunfal, mesiánica y sin rozamientos de la revolución nacional-sindicalista. Ahora se nos ofrece pues la ocasión de descubrir la totalidad de los siete números publicados cuyo interés documental para la historia del nacionalsindicalismo español es innegable.

Precio: 20 € Páginas:272
Formato: 17x24 Encuadernación:Ilustrado Cubierta a color con solapas, plastificada con brillo
Ediciones Barbarroja
Madrid, 2009
Acceder a la ficha del libro en la Librería Barbarroja

Auténtico Franco. Trayectoria Militar (1907-1939)
Juan Blázquez Miguel

Sinopsis:
Aunque con el paso del tiempo, su figura se va desdibujando, el nombre de Francisco Franco Bahamonde, "Caudillo de España por la gracia de Dios", despierta por igual incondicionales adhesioes y odios "sicilianos. Mucho se ha escrito sobre el personaje, pero uno de sus aspectos determinantes, el militar, apenas ha sido investigado, y cuando tal cosa ha sucedido ha sido para denostarlo de manera virulenta o para ensalzarlo a los altares de Marte. Huyendo de ambos extremos, el autor, responsable de una historia militar de la Guerra Civil Española que ha sido profusamente alabada, estudia en esta obra la figura del Franco militar y analiza su trayectoria, sus decisiones y su valia castrense sin apriorismos y desde una estricta neutralidad, repasando sus inicios en Africa, su paso por la Legión y su desempeño como máximo responsable del ejército sublevado durante la Guerra Civil. Sin regatear las alabanzas y sin ahorrar las críticas, las decisiones más polémicas de Franco son puestas en contexto y explicadas para que cada lector pueda sacar sus propias conclusiones sobre uno de los militares más controvertidos de la Historia de España.

Precio: 25 € Páginas:360
Formato: 21x30 Encuadernación:Rústica con solapas, ilustrado fotografías blanco y negro.
Almena Ediciones
Madrid, 2009
Acceder a la ficha del libro en la Librería Barbarroja

 

EL ÚLTIMO DIVISIONARIO EN POSSAD (1907-1939)
Batallón de transmisiones en la División Azul
Dionisio Garcia Izquierdo

Sinopsis:
El último divisionario en Possad ofrece un documento vivo de las experiencias del autor en Rusia, como voluntario en la División Azul, encuadrado en el Batallón de Transmisiones, narrado de forma sencilla pero directa, junto a la de sus camaradas mas cercanos.

El comportamiento militar de la División mereció grandes elogios de sus Camaradas Alemanes; desde el simple oficial al mismisimo Führer, y aún realizado de forma individual o colectiva, su crédito nos pertenece a todos, ocupando un lugar en nuestra historia.

Relata entre otros hechos la defensa de una de las posiciones que figura con nombre propio en la historia de la División -Possad- y ofrece de forma gráfica, la evolución de los principales combates en los que participaron las diferentes unidades hasta septiembre de 1942; especificando que fuerzas intervinieron por ambos bandos y detallando las fechas y poblaciones en las que se produjeron los movimientos de tropas.

Precio: 24 €
Páginas:
429 .Numerosas fotografias y mapas.
Garcia Hispan
Granada, 2009
Acceder a la ficha del libro en la Librería Barbarroja

 

LENINGRADO 1941-1944
La División Azul en combate
F. Martínez Canales

Sinopsis: Esta colección ofrece por primera vez a sus fieles lectores una batalla librada en pleno siglo XX y precisamente la mayor de la historia: Alemania con el apoyo de naciones como Finlandía, Rumania, Hungria, Italia, Eslovaquia, Croacia... y el prestado por miles de voluntarios de toda Europa, invade la Unión Sovietica. Los españoles estuvieron presentes en la ocasión, lucharon en ambos bandos, y mucho se ha escrito ya sobre su epópeya, sin embargo este libro ofrece novedad y variedad en la información que aporta, riqueza gráfica y originalidad de planteamiento, por lo que se convierte en una obra imprescindible tanto para el conocedor de la gesta española en Rusia, que quedará sorprendido al encontrar nuevos aspectos de la lucha en el frente de Leningrado, como para el lector que se acerque por primera vez a un tema sobre el que hallará en estas páginas una información precisa y amena

Precio: 14 € Páginas:112
Colección Guerreros y Batallas nº 52
Ilustrado
Almena Ediciones
Madrid, 2009
Acceder a la ficha del libro en la Librería Barbarroja


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Historia conceptual, Ilustración y Modernid ad



 

 

 

NOVEDAD

 

 

Faustino ONCINA COVES

Historia conceptual,
Ilustración y Modernidad

 

256 pp      ISBN 978-84-7658-907-6     PVP: 17 euros

 

Coedición con UAM-Cuajimalpa (México)

 

 

Este volumen acoge y discute diversos enfoques de la Historia conceptual (R. Koselleck, H.-G. Gadamer, J. Ritter, Q. Skinner...). Reúne tanto investigaciones que reflexionan sobre la teoría de la Historia conceptual como trabajos que la aplican a determinados temas (arcano, contrato, paz...) y autores (Lessing, Kant, Fichte...). Aun en la estela de Reinhart Koselleck, brinda claves metodológicas procedentes de otras aportaciones críticas con esta aproximación y valora de modo radicalmente diferente la etiología de la crisis de la modernidad y la estigmatización de la Ilustración. A la vez que rastrea la lógica de los conceptos como indicadores y propulsores del cambio hacia el cosmos moderno, destaca las aporías originadas en tal proceso y se desmarca de las tentativas que han hecho la mayoría de los padres fundadores de la historia conceptual para superarlas. El proyecto de optimización de la modernidad en el que casi unánimemente están comprometidos los adalides de esta estrategia, propiciado por las patologías generadas por nuestra civilización velociferina, se ha basado en una lectura demasiado sesgada y fáustica de la Ilustración.

 

NOTA: En pocos días les mandaremos información sobre el número 223 de la Revista Anthropos titulado "Reinhart Koselleck. La investigación de una historia conceptual y su sentido socio-político", muy vinculado, por tanto, a la temática de esta obra.

 

ÍNDICE

 Prólogo. Historia conceptual y hermenéutica. Historia conceptual, Histórica y modernidad velociferina: diagnóstico y pronóstico de Reinhart Koselleck. El arcano: entre la postrevolución y la contrarrevolución. Ontología idealista de la masonería y modernidad. Crítica de la razón jurídica en la aetas kantiana y crisis del iusnaturalismo. La paz kantiana como palimpsesto: la primera recepción del opúsculo Zum ewigen Frieden. El tempo del derecho de Fichte en Jena: el ritmo de la ley jurídica. Ilustración y modernidad en Kant. Procedencia de los textos.

 

 

Faustino Oncina Coves es profesor titular de Filosofía de la Universitat de València y actualmente investigador –en comisión de servicios– en el Instituto de Filosofía del Centro de Ciencias Humanas y Sociales del CSIC (Madrid). Ha editado textos, entre otros, de Erhard, Fichte, Maimon, Schiller, Schelling, Gadamer y Koselleck, y publicado diversos trabajos sobre Ilustración, su despliegue idealista y su crítica desde la hermenéutica. En estos momentos su trabajo gira en torno a las relaciones entre Historia conceptual y Modernidad y es investigador principal del proyecto «Teorías y Prácticas de la Historia Conceptual: un reto para la Filosofía».

 

 

 

OTROS MATERIALES RELACIONADOS CON ESTA OBRA

 

 

Descartes vivo, Ejercicios de hermenéutica cartesiana

     2007, 288 pp., ISBN: 978-84-7658-835-2......................... MORENO ROMO, Juan C. (Coord.)

Ego sum

     2007, XIV+145 pp., ISBN: 978-84-7658-846-8............................................ NANCY, Jean-Luc

El crepúsculo de la metafísica

     1988, 351 pp., ISBN: 84-7658-095-9.................................................................. CONILL, Jesús

El idealismo trascendental de Kant: una interpretación y defensa (Pról. y trad. D.M. Granja)

     1992, 527 pp., ISBN: 84-7658-341-9........................................................... ALLISON, Henry E.

En la cumbre del criticismo. Simposio sobre «La crítica del juicio» de Kant

     1992, 302 pp., ISBN: 84-7658-334-6.................... RGUEZ. ARAMAYO, R. y VILAR, G. (Eds.)

Escritos filosóficos y teológicos (Introd., trad. y n. A. Andreu)

     1990, 717 pp., ISBN: 84-7658-235-8.............................................. LESSING, Gotthold Ephraim

Función y crítica de la guerra en la filosofía de I. Kant

     2004, 253 pp., ISBN: 84-7658-691-4........................................................... SANTIAGO, Teresa

Interpretación del historicismo (Pres. José M. Sevilla Fernández)

     2007, XIII+192 pp., ISBN: 978-84-7658-837-6........................................... TESSITORE, Fulvio

Kant y la Biblia. Principios kantianos de exégesis bíblica

     2006, XII+259 pp., ISBN: 84-7658-768-6........................................ LEMA-HINCAPIÉ, Andrés

Kant: de la «Crítica» a la filosofía de la religión

     1994, 217 pp., ISBN: 84-7658-419-9........................... GRANJA CASTRO, Dulce M.ª (Coord.)

La insociable sociabilidad. El lugar y la función del derecho y la política

en la filosofía práctica de Kant

     2004, 255 pp., ISBN: 84-7658-705-8............................................ SERRANO GÓMEZ, Enrique

La prohibición del amor. Sujeto, cultura y forma artística en Thomas Mann

     2004, 414 pp., ISBN: 84-7658-701-5............................................................ BAYÓN, Fernando

Los destinos de la tradición. Filosofía de la historia de la filosofía

     1989, 189 pp., ISBN: 84-7658-171-8.................................................................... DUQUE, Félix

Nietzsche, crítico de Kant

     1993, 161 pp., ISBN: 84-7658-398-2................................................................ REBOUL, Olivier

Nihilismo, especulación y cristianismo en F.H. Jacobi. Ensayo sobre

los orígenes del irracionalismo contemporáneo

     1989, 527 pp., ISBN: 84-7658-176-9............................... VILLACAÑAS BERLANGA, José L.

Nueve grandes filósofos contemporáneos y sus temas. Bergson, Husserl,

Unamuno, Heidegger, Scheler, Hartmann,  W. James, Ortega y Gasset, Whitehead

     1990, 554 pp., ISBN: 84-7658-201-3........................................... GARCÍA BACCA, Juan David

Releer a Kant

     1992, 142 pp., ISBN: 84-7658-130-0.......................................... MARTÍNEZ MARZOA, Felipe

Renovación del hombre y de la cultura. Cinco ensayos

(Introd. G. Hoyos; Trad. A. Serrano de Haro)

     2002, XXXVI+106 pp., ISBN: 84-7658-623-X............................................ HUSSERL, Edmund

Sistema del idealismo trascendental (Ed. y trad. J. Rivera de Rosales y V. López Domínguez)

     1988, 479 pp., ISBN: 84-7658-069-X............................................. SCHELLING, Friedrich W.J.

Somos tiempo. Crítica a la simplificación del tiempo en Occidente

     2009, 176 pp., ISBN: 978-84-7658-919-9........................................... SERNA ARANGO, Julián

Transición de los principios metafísicos de la ciencia natural a la física

(Opus postumum) (Ed. F. Duque)

     1991, 778 pp., ISBN: 84-7658-269-2............................................................... KANT, Immanuel

Tránsito de la naturaleza a la historia en la filosofía de Kant

     1996, 382 pp., ISBN: 84-7658-458-X.................................................................. TURRÓ, Salvio

 

 

Reinhart Koselleck. La investigación de una historia y su sentido socio-político. (Revista Anthropos, 223),

ISSN: 1137-3636

 

 

 

www.anthropos-editorial.com

Foros de debate: www.clubantigona.com

 

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La monarquía de Felipe III (Notiweb)


Reseñas - Ensayos   

UNA OBRA HISTORIOGRÁFICA IMPRESCINDIBLE

 

La Monarquía de Felipe III. Martínez Millán, José; Visceglia, Maria Antonietta (Dirs.).  Fundación Mapfre. Madrid, 2008/2009. Vol. I: La Casa del Rey; Vol. II: La Casa del Rey; Vol. III: La Corte y Vol. IV: Los Reinos.



 
 

Los cuatro extensos volúmenes de La Monarquía de Felipe III hacen de ésta una obra con una manifiesta vocación, en el mejor sentido de la palabra, clásica, es decir, de referencia en el actual momento historiográfico y en los posteriores. Obviamente, esta magna obra pretende revolucionar las visiones tradicionales y casi canónicamente establecidas acerca de un reinado considerado menor en la historia de España, es decir, el de Felipe III.

Para dicho fin, los directores de la obra, el profesor José Martínez Millán y la profesora Maria Antonietta Visceglia, han sido capaces de estructurar la labor investigadora de un cuantioso grupo de 78 investigadores de muy diversas procedencias nacionales, aunque todos vinculados al mundo académico-universitario. De esta forma, se brinda al lector de las últimas tendencias historiográficas y metodológicas de la mano de investigadores consagrados y de jóvenes investigadores que introducen sus valiosas aportaciones fruto de las investigaciones para sus respectivas tesis doctorales. Abrumadora resulta, también, la gran cantidad de distintas fuentes utilizadas en la construcción (elaboración) de esta obra. Prueba de ello son los extensos listados de abreviaturas de archivos y bibliotecas que se encuentran al inicio de los volúmenes, entre los cuales la procedencia es, obviamente mayoritaria de Europa. En definitiva la labor organizativa y, más importante si cabe, de conferir unidad a la obra que han realizado los directores resulta sencillamente encomiable.

La estructura de la obra se organiza, acorde a la nueva metodología impuesta por los directores y sus grupos de investigación, partiendo de la Casa del Rey, prosiguiendo con el estudio de la Corte, para concluir con el análisis de los diferentes Reinos que componían la Monarquía de Felipe III. De esta manera, en el primer volumen de la obra (La Monarquía de Felipe III: la Casa del Rey) se aborda la estructura, configuración y organización de la Casa del Rey, siendo el segundo volumen un valioso apéndice documental de los servidores y oficios de la Casa Real. El tercer volumen, La Monarquía de Felipe III: La Corte, estudia las dinámicas cortesanas y sus modificaciones con respecto al reinado precedente. Por último, el volumen cuarto, La Monarquía de Felipe III: Los Reinos, analiza las relaciones entre la Corte madrileña y los diferentes reinos que componen la monarquía de Felipe III, al mismo tiempo que se abordan las relaciones con los principales centros políticos ajenos a la Monarquía: Roma, el Imperio, Inglaterra, Francia y el imperio otomano.

La obra presenta una innovación visión del reinado en las tres introducciones de los volúmenes (a excepción del segundo, en el que ya se ha comentado que se ofrece un valioso apéndice documental), a pesar de que en el cuarto, la introducción sea presentada como el primer capítulo del mismo. De esta forma, en la introducción del primer volumen, los directores de la obra (con la colaboraciones de E. Jiménez Pablo, A. Rivero Rodríguez. J. de Palacio, O. Rey y A Carrión), estudian la quiebra de la monarquía hispánica de Felipe II y la génesis de la Monarquía Católica de Felipe III. Dicho cambio se estudia partiendo del análisis del partido castellano (o castellanista), el cual rompe la concordia y el sistema de integración de Carlos V y del principio del reinado del propio Felipe II, lo que originó el resentimiento de los grupos desplazados. Este acaparamiento del poder por un determinado grupo conllevó, al mismo tiempo, el sometimiento del papado. Por consiguiente, Roma emprendió una batalla política (mediante el denominado partido papista) que fracasó, pero que resultó victoriosa en el terreno religioso. Al mismo tiempo, se dispuso repartir prebendas y gracias eclesiásticas e influencias a los nobles situados en el entorno del príncipe (el futuro Felipe III, para así ganar un sucesión a su favor), siendo estas familias: Puñoenrostro, los Cardona, el Duque de Sessa, o los Guzmán (pp. 33 y 38). Así, tras el relevo en el trono, Felipe III emprendió una renovación de oficios, despidiendo a quienes habían servido a su padre.

En el plano religioso, los conflictos presentaban dos vertientes, que al mismo tiempo se encuentran unidos: la Compañía de Jesús y el modelo religioso impuesto por Roma, utilizadas como medios de imposición de la política papal. Así las cosas, se analizan las transformaciones realizadas por la Compañía, sobre todo, en su Congregación General de 1594. Del mismo modo, "Roma mostró su discrepancia con la religiosidad que estaba implantando Felipe II se hizo a través de la nueva espiritualidad": los descalzos. Por consiguiente, la descalcés se entiende como un movimiento religioso genuinamente español, que presenta su vertiente política en el apoyo y sostenimiento de la monarquía de Felipe III, postulando un sometimiento a los intereses romanos.

Por último, se apuntan los mecanismos de gobierno de la extensa monarquía de Felipe III: mediante tupidas redes clientelares, es decir, redes no institucionales en las que el monarca actuaba como un pater familias (p. 123). Obviamente, la propia extensión de la monarquía fue la que requirió crear algunas instituciones para "como medio de poder atender a todos" (p. 127). De esta forma, y gracias también a la separación entre gubernaculum y iurisdictio, cobraron gran importancia los virreyes y las cortes virreinales, deviniendo estos en hombres de suma confianza del rey y sus cortes en fieles reflejos de la del monarca.

Como ya se ha mencionado, el Volumen I centra su estudio en la Casa Real, comenzando por el estudio de "Las Casas del Rey: la evolución de la Casa de Castilla y la de Borgoña". Las disputas entre ambas Casas, es decir, entre distintos grupos de poder y de entender la monarquía, que se encontraban latentes con Felipe II, emergieron con Felipe III. Por consiguiente, la Casa de Borgoña representó a la dinastía e impuso su sofisticada etiqueta, mientras que la Casa de Castilla impuso su preeminencia de reino principal y más poderoso de la monarquía.

Desde el segundo capítulo hasta el quinto se analizan las diferentes secciones de la Casa del Rey, comenzando por la Cámara, donde se distingue entre el servicio de la Casa de Castilla y la de Borgoña, para profundizar en el pormenorizado estudio de los cargos y servidores del entorno más restringido y próximo al monarca. A continuación se estudian la caballeriza, la Junta de Obras y Bosques, como elemento central de la Casa de Castilla, para finalizar con los guardias palatinos. El capítulo VI, "La evolución de la Casa de la Reina y de los miembros de la Familia Real hispana", se presta mayor atención a los oficios femeninos de las casas, así como dichas casas se convertían en otros centros de poder en la Corte. El capítulo séptimo aborda las características del Aposentador y del personal del aposento, de gran relevancia en un reinado en el que el rey se encontraba gran parte del tiempo de Jornadas, sin dejar de tener presente el propio traslado de la Corte a Valladolid. Para concluir el estudio de la Casa del Rey, se nos ofrece un minucioso estudio del "Gasto y financiación de las Casas Reales".

El segundo volumen, como ya se ha señalado, está compuesto por unos extensos y valiosos apéndices. Primeramente se nos brinda una lista alfabética de todos los servidores de la Casa de Felipe III, complementada con una biografía de los mismos. Obviamente, la extensión de dicha biografía se halla en dependencia directa de la importancia y relevancia política de la persona en cuestión. Seguidamente, se ofrece un listado de los servidores ordenados por oficios. A continuación, se presentan las nóminas de la Casa de Castilla, para concluir con la relación de los servidores de la Casa de la Reina Margarita de Austria, así como las Ordenanzas de dicha casa.

El Volumen III, que lleva por subtítulo La Corte, comienza con una introducción de Martínez Millán en la que formula los contenidos del presente volumen y el siguiente. Para ello replantea la decadencia de la monarquía, vista tradicionalmente como consecuencia de una crisis productiva, es decir, de factores meramente económicos. En este sentido, a una crisis económica que imposibilita mantener un extenso imperio, le sobreviene una larga crisis política (marcada por el gobierno del valimiento) que explicarían la decadencia de la monarquía. Sin embargo, el autor apunta que existen otros factores también determinantes que nos permiten reformular la supuesta decadencia de la monarquía. Dichos factores, que serían religiosos, culturales, teológicos e, incluso políticos, que explican, al unísono con la introducción primera el paso de la monarquía hispánica de Felipe II a la monarquía católica de Felipe III. Por consiguiente, la supuesta paz propugnada desde la monarquía, que sería el hecho sustancial para marcar el inicio de la prolongada decadencia, es vista por Martínez Millán como una paz promovida desde Roma, pues vela por sus intereses.

Con estas premisas, este volumen se estructura en torno a los canales de transmisión del poder y su flujo dentro de la Corte. Así las cosas, se comienza analizando la figura del monarca y la reina, empezando por su educación, que en este caso, al igual que con Felipe II, el rey recibió una educación castellana, al mismo tiempo que caballeresca, artística, literaria y lúdica. Seguidamente, en el Capítulo II, "El favorito del Rey", Patrick Williams se centra en el estudio del Duque de Lerma, centrándose en los orígenes del propio valido, sus acciones de gobierno, las redes que lo apoyaban, así como las severas críticas que recibió, que coadyuvaron a su caída, en un momento en el que el valido ya estaba más preocupado por su nuevo status eclesiástico: el cardenalato.

"El sistema polisinodial" se titula el capítulo III. En él se analiza la institucionalización de las redes de poder que mantenían unida la monarquía. Partiendo del análisis del Consejo Real, es decir, el principal consejo de gobierno y antiguo consejo de Castilla, se continúa estudiando los diferentes consejos, comúnmente denominados temáticos. El estudio de los consejos territoriales corresponde a Manuel Rivero Rodríguez, quien apunta que la Corte también era una proyección mundial de la extensión de la monarquía (incluso algunos de ellos, como Aragón o Italia, se presentaba como un microcosmos dentro del macrocosmos de la monarquía, dado que reflejaban el mismo esquema de agregación e integración de los diferentes reinos que los componían), puesto que allí convergían los consejos y embajadores de los distintos reinos. Así, con el retorno de la Corte a Madrid, podemos hablar de un proceso de visibilización de la monarquía de las naciones mediante el afloramiento de las fundaciones de cada una de las naciones en la ciudad Corte. En el capítulo IV, Santiago Martínez Hernández, estudia el contrapeso, en términos de poder, que supusieron todas las familias tituladas de los diferentes reinos a la política y gobierno del valimiento, a partir de las redes clientelares que estas mismas familias pudiesen extender.

Los siguientes capítulos, el V y el VI, están dedicados al arte y a la literatura en el ámbito cortesano. Así las cosas, Magdalena de Lapuerta centra su estudio en la importancia de los objetos artísticos como elementos e instrumentos de las relaciones diplomáticas, forjándose el coleccionismo como una moda en la Corte de Felipe III, que sus nobles y otras cortes europeas fueron imitando. El estudio de la literatura presenta tres vertientes diferentes. Por una parte, Antonio Rey Hazas describe el Madrid de principios del siglo XVII, donde convergieron los mejores literatos de la época. Por otro lado, Jesús Bravo Lozano, estudia la relación entre el arbitrismo y la picaresca, a partir de un minucioso comentario de las obras más importante del período. Por último, Eduardo Torres Corominas, analiza el papel desempeñado por la novela morisca. Los dos últimos capítulos del Volumen III, están dedicados a la "Política y Finanzas" y al papel de los Arbitristas en la monarquía de Felipe III.

El extenso Volumen IV, Los Reinos, considero que no puede ser objeto de un comentario tan detallado como los anteriores debido a que requeriría un propio libro para ello. El primer capítulo del volumen, "Una monarquía de Casa Reales y Cortes virreinales", es realmente una introducción al mismo. En ella, Manuel Rivero Rodríguez plantea que el enorme conglomerado de reinos se articuló en torno a las Casas Reales, integrándose así en el todo de la monarquía. De esta manera, existían diversos poderes que confluían siempre en el monarca. Así, los Consejos, que residían en la Corte, eran el propio reino representado en Madrid. Por otra parte, el poder de los virreyes fue en aumento en este período, aumentando sus cortes virreinales a imagen y semejanza de la del rey católico, ya que el rango del territorio quedaba marcado por el del virrey (y viceversa). Por consiguiente, esta visión nos permite comprender realmente cuál fue la política de centro-periferia que llevó a la práctica la monarquía.

Los siguientes seis capítulos del volumen analizan los distintos reinos que componen la Monarquía de Felipe III y sus relaciones con la Corte de Madrid. Seguidamente, se estudian las relaciones entre diversos territorios que no componen la Monarquía, pero que, dada su relevancia política en la época, fueron elementos de disputa o colaboración con ella. Así, se comienza por la Italia no española, con la Corte papal como centro de poder fundamental del momento de cara al gobierno de la Monarquía. A continuación, se atiende a las relaciones con la Europa septentrional y central en la época de la llamada "pax hispanica" y, por último, se analiza la constante y continua amenaza turca y las relaciones de "amistad" con la lejana Persia.

En definitiva, La Monarquía de Felipe III se presenta ante nosotros como una obra historiográfica valiosísima y, casi podríamos aseverar, imprescindible. La nueva visión del reinado que nos ofrece la convierte en una obra de referencia, dado que la sólida base argumentativa se sustenta en minuciosa trabajo de archivo y biblioteca, que se refleja en las numerosas citas de la obra. Así, entiendo que el carácter de clásico con el que comenzaba calificando a esta obra, es decir, que será obra de referencia desde este mismo momento de su publicación, se halla más que justificado.

Marcelo Luzzi
UAM/IULCE

 

 
 

La guerra y la masificación hicieron al hombre moderno (Notiweb)


La guerra y la masificación hicieron al hombre moderno

Los grupos humanos con comportamiento cultural moderno surgen en la prehistoria en lugares y momentos diferentes. ¿Por qué? ¿Está determinado ese salto por el aumento de las capacidades cognitivas de la especie humana? No necesariamente, según explican unos investigadores del University College de Londres.

FUENTE | El País Digital 10/06/2009

Para ellos la clave, o al menos una clave importante, reside en la estructura demográfica de las poblaciones. Pudo ser su densidad, las migraciones y las interacciones entre los subgrupos sociales lo que habría provocado el surgimiento de la complejidad simbólica y tecnológica en el comportamiento humano -primero en África, y después en Europa- y no necesariamente los cambios biológicos en la capacidad cognitiva, dicen.

Otro estudioso, éste de EE.UU., aborda también la cuestión demográfica en el origen del comportamiento social humano moderno. Pero lo hace desde la perspectiva de los costes y beneficios de la guerra en la evolución de un rasgo social importante como el altruismo. Ambos trabajos se publican en la revista Science. En ambos casos, como no podía ser menos en la ciencia contemporánea, Darwin sale a relucir, y la comparación con los datos genéticos resulta esencial al menos para validar las conclusiones demográficas.

El origen del comportamiento humano complejo, registrado primero en Europa y Asia occidental (hace unos 45.000 años) y después en el sureste y este asiático, Australia y África, se caracteriza por un marcado salto cultural y tecnológico, recuerdan Adam Powell (University College, Londres) y sus colegas. Incluso emerge un comportamiento simbólico que se manifiesta en el arte abstracto y realista así como en la decoración de los propios cuerpos. Herramientas de piedra, tecnologías avanzadas de cazadores y tramperos (lanzas, bumeranes y redes), artefactos rituales (de hueso y marfil) y musicales (flautas de hueso) son restos arqueológicos que lo atestiguan.

Lo que Powell y sus colegas investigan es la dispersión espacial y temporal del origen de la modernidad. Además, hay que tener en cuenta que los humanos anatómicamente modernos surgen en África hace entre 160.000 y 200.000 años. Entonces, si el motor del comportamiento moderno fuera un cambio biológico hereditario, ¿no deberían haber surgido sociedades complejas frecuentemente y pronto tras su diáspora fuera del continente ancestral? Es más, los científicos británicos apuntan que, para muchos de sus colegas, también los neandertales, aunque biológicamente diferentes de los nuevos humanos, tenían comportamiento y capacidades cognitivas notables.

Powell y sus colegas abordan el problema con modelos que tienen en cuenta los grupos de población, la estructura de los subgrupos y sus relaciones, la emigración y, por supuesto, los recursos que ofrece un entorno y las estrategias sociales para explotarlos.

"Nuestros resultados demuestran que la influencia de la demografía en los procesos de transmisión cultural ayuda a explicar tres características clave de la emergencia del comportamiento moderno observable en el registro arqueológico: la aparición temprana y la desaparición subsiguiente de rasgos modernos en el sur de África; la heterogeneidad geográfica y temporal del surgimiento del comportamiento moderno y el retraso entre la anatomía moderna y los rasgos de comportamiento modernos", concluyen los investigadores.

Los estudios de ADN permiten hacer estimaciones sobre densidades de población prehistóricas cuyos resultados son compatibles, en general, con los de estas simulaciones demográficas.

Hay que tener en cuenta, advierte Ruth Mace también en Science, que "tanto los rasgos genéticos como culturales son hereditarios y están sujetos a procesos evolutivos, aunque los segundos no se transmiten de modo mendeliano y pueden heredarse incluso entre gente que no comparte genes". Esto puede producir resultados evolutivos inexistentes en otros animales.

Más radical que el de Powell es el segundo estudio, también de corte demográfico. Samuel Bowles (Instituto de Santa Fe, EE.UU.) aporta información etnográfica y arqueológica a sus modelos para concluir que la estructura demográfica en los grupos de cazadores-recolectores prehistóricos favoreció la transmisión de rasgos genéticos de influencia social en los humanos.

El punto fuerte del trabajo es el altruismo, aunque lo que estudia es la guerra, entendida ésta como conflictos violentos intergrupales. Las prácticas bélicas, sugiere Bowles, pudieron favorecer la supervivencia de grupos humanos que contuvieran más individuos altruistas dispuestos a poner en peligro su propia vida si ello aporta beneficios para su propio grupo.

"El nivel estimado de mortalidad en conflictos intergrupales debió tener un efecto sustancial, favoreciendo la proliferación de comportamientos favorables al grupo aunque fueran muy costosos a nivel personal para el individuo altruista", afirma, con un enfoque muy darwinista. Es decir, en la guerra venció evolutivamente el altruismo.

Autor:   Alicia Rivera

  

XXII Seminarios Complutenses de Derecho Romano


FUNDACIÓN SEMINARIO DE DERECHO ROMANO

 "URSICINO ÁLVAREZ"

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XXII SEMINARIOS COMPLUTENSES DE DERECHO ROMANO

 

VIERNES 19 DE JUNIO DE 2009

 

 

PRIMERA SESION

9.45 h.

JOSÉ MARIA RIBAS (Sevilla)

Libertas

 

10.45 h.

ALFONSO CASTRO (Sevilla)

Trebacio Testa: trayectorias

 

 

SEGUNDA SESION

13.00 h.

MARIO VARVARO (Palermo)

El redescubrimiento del palimpsesto veronés de las Instituciones de Gayo y el Ms. Lat. Berol. Fol. 308

 

(14.30: almuerzo)

 

16.30 h.

ESPERANZA OSABA (País Vasco / Bilbao)

Estrategia de protección de la Iglesia en época visigoda.

 

 

TERCERA SESION

18.00 h.

PAOLA LAMBRINI (Padua)

"Actio de dolo" y tutela de los acuerdos  jurídicamente no vinculantes.

 

19.00 h.

TOMMASO DALLA MASSARA (Padua)

La "causa" del contrato en el pensamiento de Aristón: sobre la necesidad de un concepto.

 

AUDITORIO 1

FACULTAD DE DERECHO

UNIVERSIDAD COMPLUTENSE


La BNE en Google Books (notiweb)


La Biblioteca Nacional pondrá en Google Books sus fondos digitalizados

La Biblioteca Nacional va a suscribir en breve un acuerdo con Google para que los fondos de la Biblioteca Digital Hispánica se puedan consultar a través de Google Books, aunque solo se podrá ver una parte del contenido de cada libro, ha anunciado la directora de esta institución, Milagros del Corral.

FUENTE | Público 10/06/2009

"Quien quiera ver el resto del libro podrá hacerlo gratuitamente en la página web de la Biblioteca Nacional", ha dicho Del Corral a un grupo de periodistas, tras comparecer en la Comisión de Cultura del Congreso de los Diputados, en la que ha asegurado que la institución que dirige aspira al mismo grado de autonomía legal que el Museo del Prado.

Del Corral explicó que la Biblioteca gestiona convenios con la página web Amazon.com y con el portal Google, que "no son exclusivos, uno sabe que está el otro". La directora detalló que la institución "venía coqueteando" con Google hacía un tiempo y que el acuerdo permitirá que el contenido de la Biblioteca Digital Hispánica esté disponible en Google Books.

Los objetivos son conseguir proyectar una nueva imagen dentro y fuera de España, preservar el patrimonio y difundirlo, crear una política para la Biblioteca "alejada de cualquier interés político", trabajar los fondos desconocidos, desarrollar una red de confianza con el Ministerio de Cultura y el resto del sistema bibliotecario. "Molina me otorgó amplio margen de libertad para trabajar. Pidió que me ordenara la casa y buscara excelencia", detalló la directora.

Asimismo, Milagros del Corral aludió a la fuerte apuesta por las nuevas tecnologías y reveló que la Biblioteca Nacional venía digitalizando la prensa diaria desde 1999, "adelantando el embrión de la Hemeroteca Digital Histórica".

ESPEJO DE LA BIBLIOTECA "REAL"

Del Corral explicó también que, para hacer la Biblioteca Digital Hispánica, se optó por un proceso de digitalización "distinto". "Estamos por algo que llamamos Biblioteca Espejo, una especie de espejo digital de lo que es la Biblioteca Real". Para eso, según detalló, sería necesario basarse en una selección "cuidadosa" de los fondos; realizar una combinación de todos los soportes que se conservan y aportar "algo que no todas las bibliotecas digitales tienen" que es la configuración de colecciones virtuales, "lo que ayuda el usuario poco acostumbrado a manejarse a estos temas".

La Biblioteca Digital Hispánica contó inicialmente con una ayuda de 500.000 euros del Ministerio de Industria, lo que acabó abriendo el camino para un acuerdo de 10 millones de euros con Telefónica para la digitalización de fondos de la Biblioteca en cinco años. "En la actualidad, la Biblioteca Digital Hispánica cuenta con 18.000 obras digitalizadas y en 2012 contaremos con unas 600.000", adelantó Del Corral, que recordó también que la nueva web de la Biblioteca está "más adaptada" a las necesidades de los usuarios, con la incorporación de blogs, noticias y agenda diaria.